Whoami, le chasseur inconnu

Whoami "Sans nom", chasseur/arbalétrier fédorien d'une trentaine d'année.

Origine et parcours :

On ne sait ni d'où il vient réellement, ni pourquoi il est resté à la capitale fédorienne.
Vaquant de villes en villes pour glaner des informations, il ne reste jamais très longtemps au même endroit en règle générale.
Il n'a étudié dans aucune école et on ne sait pas comment ni pourquoi il a pris la voie d'arbalétrier.

Description physique :

Il est un réel croisement entre un chasseur hors pair, un homme et.. quelque chose d'autre.
D'une beauté angélique, ce chasseur possède un corps proche de la perfection mais ses particularités physiques flagrantes ont toujours été sources d'interrogations et de rumeurs cinglantes. Les runes gravées à même le corps se reliant au cœur et les rayonnements mauves qui s'en dégagent, son œil gauche couleur argent et son étrange arme ont toujours été source de peur chez autrui. Son œil est très souvent recouvert par une mèche de ses cheveux blancs comme neige, cheveux qui passent rouge quand il utilise a forte dose son elixia de feun héritage de Fedoran.
Les érudits en sont fascinés mais le commun des mortels le traitent souvent de démon sous le poids de l'incompréhension...

Description mentale :

Toujours galant et hospitalier envers les inconnus, il n'hésitera cependant pas à dire ce qu'il pense si on vient lui chercher des noises, quitte à être blessant ou agressif. Il sait aussi se montrer protecteur quand l'occasion se présente et refusera pertinemment que des gens se sacrifient pour sa cause.
Égoïste, impulsif et violent, il devient totalement incontrôlable quand il est proche de son but. Il est capable de déployer une frénésie sans pareil envers tout ce qu'il déteste, passant de chasseur à une véritable bombe destructrice.

Au combat

Peu de monde ont eu l'occasion de le voir combattre, en tant qu'arbalétrier chassant les Lun, il doit faire preuve d'une prudence permanente en plus d'être assez rapide pour survivre.
D'aucun auraient rapporté que son arme brillait dans la nuit, qu'il pouvait se déplacer à la vitesse du son et qu'il était capable de repérer n'importe quelle sorte de cible monstrueuse sans même la voir. Cette légende avait le don de rendre jaloux les autres chasseurs qui ont eu l'occasion de le côtoyer, cherchant à leur tour le moyen de le concurrencer ou de l'éliminer.

Ce qu'on sait de lui :

On sait peu de choses de lui excepté qu'il exècre tout ce qui appartient au peuple de Lun et plus particulièrement Lunelia, la responsable de cette petite assemblée.
On dit qu'il aurait eu de nombreuses relations avec les hautes sphères fédorienne, que ce soit pour des études médicales ou pour séduire les dames de la cour. On dit même qu'il entretiendrait une relation très particulière avec l'impitoyable reine de ce peuple, mais personne n'a encore osé lui demander pourquoi.

Description vestimentaire et accessoires de Whoami.

Tête : Un capuchon de couleur coincée entre le gris foncé et le mauve foncé dans lequel est cousu au bord un ruban en soie rouge, des brodures dorées sont cousues sur la capuche et représentent le symbole de la reine de Fédoran. Ils s'illuminent de couleur mauve quand le chasseur passe à l'attaque.

Cou, nuque et épaules : La capuche s'attache devant par une sorte de gemme de couleur mauve semblant bourrée d'Elixia, c'est elle qui fournit apparemment l'énergie pour illuminer la capuche.
Dessous, il possède une sorte de collier en plaques d'or et argent, large mais peu épais et léger.
Celui-ci qui fait le tour de la nuque pour finir sur le torse par une sorte de V entre les pectoraux.
Il possède une épaulette en argent composé de 3 plaques sur le bras gauche ou il tient son arbalète.
Sur la première plaque d'argent est gravée une rune totalement inconnue, représentant la spirale gravée au niveau de son cœur.

Torse : Une petite chemise sans manches, déchirée au couteau, dans un lin particulier, de la même couleur que la capuche. De très bonne qualité, elle est à la fois légère, souple et protectrice des aléas du climat.
Elle est entourée par trois ceinturons de cuir magiques argentés qui servent à attacher le support dorsal de l'arbalète. Ces ceinturons se retrouvent aussi au niveau de la taille au nombre de deux.

Bras : Le bras gauche, qui tient l'arbalète, est totalement recouvert d'un tissu lisse et moulant noir dans lequel apparaissent les mêmes sillons que ceux de son corps (en forme de serpents). Un gant en tissu léger permet de ne pas glisser avec le recul de son arme. De plus, quatre sortes de bandes noires entourent anarchiquement l'avant bras et sont serrées au maximum. Moins l'écoulement de sang passe par ce bras, plus la stabilité est accrue.

Le bras droit est complètement dénudé et laisse apparaitre les cicatrices, sans doute pour une raison pratique de maniement des carreaux et de la dague. Il possède néanmoins un gant en cuir noir, plus résistant, renforcé de plaques d'argent aiguisées pouvant servir de bouclier et d'arme d'appoint en cas de danger.

Taille : Il possède une tassette descendant jusqu'au milieu des cuisses, celle-ci est composée de deux couches.
La première couche est un tissu s'apparentant à des sortes écailles de la même couleur que la capuche et aux bords mauves. On ne peut pas vraiment déterminer d'où proviennent ses écailles.
Devant la tassette, un écusson est fixé, avec la même rune inconnue que sur l'épaulette.
Cette première couche se termine par une sorte de duvet/plume de couleur blanche d'une dizaine de centimètres, contrastant avec la couleur majoritaire du reste de l'équipement.

La seconde couche, en dessous, est uniquement dans un but défensif et ne sont présentes qu'au niveau des jambes.
Composée de plaques d'armures de couleur argentée, elle descend un peu plus bas et peut servir de bouclier si on attaque cette partie.
Dans le dos sont fixés sur une des ceintures les carreaux d'arbalète et une dague visiblement d'une grande valeur.

Entre la première et la deuxième couche, un long tissus blanc en soie descend jusqu'entre les deux genoux.
En haut du tissu sont cousue quatre petites bandes grises partant dans des directions opposées.

Jambes : Le bas des jambes est totalement recouvert de bandes dans les tons du reste de l'attirail. Là encore dans un but de performance en combat.
Il possède par dessus deux genouillères en acier, eux encore gravés avec la rune en spirale. Aiguisées, elle peuvent causer des dommages létaux ou contondants en fonction du coup de genou utilisé.

Pieds : Les chaussures qu'il porte sont des bottines dans un simple cuir, brodées de dorures et renforcées en acier à l'intérieur. La partie montante de celles-ci sont recouvertes par les bandages, donnant l'impression que ses chausses sont la continuité parfaite de la jambe.

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[HRP] : Je me rend compte que c'est super difficile d'inventer une tenue vestimentaire \o/.
Amis stylistes, j'attends vos avis et suggestions. Merci ^^'

Je décrirai l'arbalète plus tard...

Premier cauchemar

- Ou suis-je ? Hé !!

Whoami avançait dans une sombre grotte, poussé par des mains inconnues et une force indescriptible.
Ne pouvant se retourner, il leva la tête. L'antre était immense et magnifique !
Le granite de ses parois était taillé en pavés et parfaitement disposé pour rentre la structure des plus solides. Le ciment utilisé pour coller la roche resplendissait d'un elixia pourpre, on aurait pu croire que ce lieu était vivant.

Parsemé tout le long du couloir, en guise d'éclairage, des petites plantes dorées crachaient une quantité indéfinissable de bulles de lumière. Celles-ci, bien qu'éphémères, ne manquaient pas de révéler certains détails avant de disparaitre définitivement dans le néant.

Un pas en avant, puis un autre, lentement, manquant de trébucher à chacun d'eux.

- Que me voulez-vous ? Et qui...

Un sortilège surgit du mur le foudroya, lui clouant instantanément le bec pendant qu'il s'avançait vers une grande table en ivoire. Visiblement, sa parole n'était pas souhaitée ici...
Une des forces en présence lui caressa tendrement le visage, avant de le soulever et le déposer délicatement sur la table. Sa volonté lui disait de bouger mais son corps ne répondait plus, il était impuissant, totalement impuissant.

Dans le lot de femme vêtue de grandes toges noires, l'une d'entre se pencha au dessus de lui, serrant une dague magnifique de sa main gauche. Elle l'observa, sourit et versa une larme. Une bulle passa à proximité de la table et il pu distinguer les traits de celle qui le chérissait depuis son plus jeune age.

- Ma... maman ?

La dague s'abattit dans son cœur aussi rapidement que l'éclair précédent !